Découvrir Tours sur une journée

Lola à Tours

Découvrir Tours offre une halte intéressante lorsque l’on visite les châteaux de la Loire ou que l’on parcourt La Loire à Vélo. C’est aussi une très bonne idée si vous ne souhaitez arpenter que cette ville, qui vaut bien une visite à elle toute seule, le temps d’une journée ou d’un week-end !

Tours fait partie de la Touraine, ancienne province française bien connue pour ses châteaux. C’est une ville au patrimoine très riche située dans la vallée de la Loire ; c’en est même la capitale. La ville de Tours est labellisée Ville d’Art et d’Histoire, ce qui en dit long sur sa richesse patrimoniale ! C’est une ville qui saura certainement vous charmer pour ses maisons à colombages, pour la Loire qui la traverse, ou encore pour sa gastronomie : Tours fait partie du réseau des Cités de la Gastronomie depuis 2013. Vivante, jeune et dynamique, cette ville étudiante fut une belle découverte.

Localisée en Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val-de-Loire, où je vis depuis le mois de mars, nous avons profité d’un tarif très avantageux de la part de Rémi (il s’agit du réseau de transports en commun de la région) mis en place lors des Journées Européennes du Patrimoine 2022 pour venir visiter Tours. En effet, pendant tout le week-end, le train était à quatre euros par personne pour un aller-retour dans TOUTE la région. Impensable de ne pas en profiter ! D’ailleurs, je trouve que ce genre d’offre devrait se réitérer plus régulièrement, pour donner davantage envie de prendre le train au profit de la voiture ; mais ceci est une autre histoire !

Si vous aussi vous êtes passionnés par le patrimoine, vous ne loupez certainement pas les Journées Européennes du Patrimoine, organisées par le Ministère de la Culture. Elles ont lieu tout un week-end à travers toute l’Europe ! Les dates sont peut-être même marquées des semaines avant dans votre agenda, et vous avez déjà prévu tout un programme que vous espérez bien tenir à la lettre. Faire les JEP, c’est de l’organisation avant tout !

Nous sommes donc arrivés à Tours par le train, et l’on a d’abord pu admirer sa gare, réalisée par Victor Laloux. À l’intérieur, il y avait de belles mosaïques présentant les différentes destinations autrefois desservies par cette gare. Une première petite pépite pour qui sait prendre le temps de s’arrêter et d’observer !

Ne vous en faites pas, c’est loin d’être la seule découverte que je vais vous présenter dans cet article. Je vais vous montrer tout ce que l’on peut faire sur une journée à Tours, que ce soient des incontournables ou des pépites cachées que je vous ai dénichés. Je vous préviens, on commence fort !

L’Hôtel de ville

L’hôtel de ville de Tours était notre toute première visite de la journée : une très belle mise en bouche pour commencer notre découverte de Tours. Il a été construit selon les plans de Victor Laloux, architecte tourangeau célèbre pour avoir réalisé les plans de l’actuel Musée d’Orsay à Paris. En effet, c’est lui qui a dessiné les plans de ce lieu iconique du patrimoine français, puisqu’une commande lui a été passée pour l’ancienne gare qui reliait autrefois Paris à d’autres villes de l’Ouest de l’hexagone. Il suffit de regarder un instant pour se rendre compte des ressemblances entre l’hôtel de ville de Tours et Orsay.

Une fois passé la porte principale, on est frappé par la beauté et la grandeur des lieux. Dans le grand hall, on profite de la diffusion d’une vidéo présentant la ville de Tours à travers les époques pour obtenir quelques informations sur l’histoire de la ville. Lors de notre séjour sur la Loire à vélo quelques semaines auparavant, nous avions appris que les Turons, peuple gaulois vivant à Amboise en grande majorité, avaient donné naissance au nom de la ville de Tours. Aussi, au XVe siècle, Tours était la capitale politique française, puisque pendant la Guerre de Cent Ans, les rois ont été chassés de Paris et ont été contraints de se réfugier en Touraine, où ils commencent à construire des châteaux un peu partout. Elle le sera encore à deux autres reprises, au XVIe siècle et pendant trois jours en juin 1940 suite à la fuite présidentielle face aux Allemands.

Nous montons ensuite l’impressionnant escalier qui nous mène au premier étage, tout en admirant le plafond richement orné. Lors de cette visite libre, nous avons eu accès à trois salles : la salle de bal, la salle des mariages et celle du conseil municipal. La salle de bal, la plus impressionnante des trois, est digne du château de Versailles vu son faste apparent, entre ses dorures et ses peintures au plafond, ainsi que ses larges fenêtres. Elle fait plus penser à un palais qu’à un hôtel de ville.

Dans la salle du conseil municipal, on peut apercevoir un triptyque représentant Jeanne d’Arc ; le premier tableau dépeint le moment où elle se rend à Chinon pour rencontrer Charles VII, puis les deux suivants montrent l’épisode où elle est brûlée sur le bûcher à Rouen. Pour ma part, je trouve cela dommage de ne pas avoir peint une scène plus représentative de la ville de Tours. Dans cette salle, petite curiosité, on trouve également deux loges, comme au théâtre ou à l’opéra. La salle des mariages est aussi belle, même si moins remarquable que la salle de bal.

Pour savoir si des visites guidées ont lieu lors de votre venue, n’hésitez pas à contacter l’Office de Tourisme de Tours qui saura vous renseigner.

Faire un tour dans le centre historique

La Tour Charlemagne/ La Tour de l’Horloge/La Basilique Saint-Martin

Être à Tours sans voir des tours ? Quelle idée ! Les Tours Charlemagne et de l’Horloge sont toutes deux des vestiges de la collégiale Saint-Martin. On pouvait monter en haut de la Tour Charlemagne, sur réservation. Nous avons passé notre tour pour cette fois, mais c’est une expérience que vous pouvez vivre en vous inscrivant auprès du service patrimoine de la ville de Tours. Bon à savoir : il vous faudra tout de même gravir 248 marches pour accéder au sommet.

Nous avons continué notre tour du quartier par la basilique Saint-Martin, au style néobyzantin, dont l’architecte est encore une fois Victor Laloux. Elle a été construite pour remplacer l’ancienne église collégiale qui avait été grandement abîmée.

La place Plumereau

La place Plumereau est la place emblématique par excellence de Tours. Peu animée le dimanche matin, (seuls quelques restaurants proposent un petit-déjeuner en terrasse), l’ambiance est toute autre l’après-midi. On y vient boire un verre face aux maisons à colombages, inscrites aux monuments historiques.

L’Hôtel Goüin

Hôtel Goüin à Tours
Hôtel Goüin à Tours

Cet hôtel particulier datant du XVe siècle à la belle façade en pierre de tuffeau propose de temps en temps des expositions gratuites. Ce n’était malheureusement pas le cas quand nous étions, nous n’en avons donc aperçu que la façade derrière le portail. Je vous conseille de vérifier la programmation avant, les expositions ont l’air intéressantes.

Se balader au hasard

Un basique quand l’on arpente pour la première fois une ville : flâner dans son centre-ville, à la recherche de jolies façades, d’une placette inattendue, d’une sculpture qui saura arrêter notre regard. Ici, à Tours, on est servi par ce centre-ville médiéval bien mignon aux façades à colombages. Flâner au hasard permet de prendre aussi le pouls de la ville, de s’en faire une première impression. On découvre au hasard des monuments, comme l’Hôtel Goüin ou celui de Pierre du Puy dont nous parlerons plus tard.

Le grand avantage de la ville de Tours, c’est qu’on peut faire très facilement sa visite à pied. Il existe une seule ligne de tramway sinon, qui dessert la ville du Nord au Sud.

Les quais de la Loire et marché biologique

À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, un village marché Convergences bio, en gros un village marché de paysans, était présent exceptionnellement sur les quais de la Loire. On a fait un petit tour, notamment au niveau de la Loire, où on a eu la surprise de découvrir des bateaux traditionnels, dont un qui avait été reconverti en stand de marché pour la circonstance. On nous a proposé de goûter un pain local à la mélasse, et on a craqué pour l’achat d’un gros pain ; si on avait pu, j’aurais bien rapporté plein de légumes, car s’ils étaient aussi bons que beaux, ils devaient être délicieux ! On a aussi aperçu la guinguette « Tours-sur-Loire », qui a l’air bien agréable pour boire un verre au soleil.

Comme le marché et ses odeurs de nourriture nous avaient bien ouvert l’appétit, on s’est mis en quête d’un restaurant. On a fini avec une pizza napolitaine à emporter que l’on a dégusté au bord de la Loire, que l’on a commandé au restaurant La Tosca, à quelques mètres de là. Cela nous a très bien fait l’affaire 🙂

Vous ne le savez peut-être pas, mais la Loire fait partie du patrimoine mondial de l’Unesco, puisque le Val de Loire est labellisé paysage culturel en raison de son exceptionnelle richesse naturelle. D’ailleurs, la Loire est le plus long fleuve naturel en France, avec 1012 km : se promener en bord de Loire, c’est une vraie bulle d’oxygène et de nature. Voguer sur l’eau à bord d’un bateau traditionnel de la Marine de Loire doit être très chouette, surtout au coucher de soleil.

La Cathédrale Saint-Gatien

Ce bel édifice gothique a été édifié entre le XIIIe et le XVIe siècle. Quelques pas après notre entrée, une dame nous a proposé de nous donner quelques explications sur la cathédrale. Bénévole lors des Journées du Patrimoine, elle nous a fait une lecture des vitraux de la cathédrale de Tours. Je trouve toujours cela intéressant quand des passionnés nous parlent des lieux qu’ils affectionnent, on apprend beaucoup plus facilement à leurs côtés. Par exemple, elle nous a expliqué que certains vitraux, ceux de l’aile Nord, qui sont contemporains, montrent à la fois des représentations plus classiques et d’autres plus actuelles, notamment avec les tentes quechua fournies aux SDF qui étaient installés au niveau du canal Saint-Martin à Paris, afin qu’ils se protègent un minimum du froid. Si nous n’avions pas eu cette explication, nous n’aurions jamais pu nous douter de pourquoi ces tentes étaient représentées dans une cathédrale.

Le Cloître de la Psalette

Le Cloître de la Psalette est un monument qui se situe architecturalement parlant à la jonction entre gothique et Renaissance. Contre la cathédrale Saint-Gatien dont il est le cloître, ce petit bijou patrimonial appartient au Centre des Monuments Nationaux (et donc, comme tout monument appartenant au CMN, des gratuités s’appliquent, notamment pour les moins de 25 ans !) Tout comme nous, vous pourrez y suivre une visite guidée, ou faire la visite librement.

Le Cloître de la Psalette était un lieu de travail pour les chanoines de la cathédrale, ce n’était pas un lieu où ils logeaient.

Lors de la visite, j’ai apprécié l’escalier en vis majestueux qui rappelle l’architecture de l’escalier du château de Blois. Les seules salles que l’on voit sont à l’étage : il y a d’abord le scriptorium où les moines copistes écrivaient à la main les manuscrits, qui étaient également richement enluminés, puis l’ancienne bibliothèque, qui s’inspire de la bibliothèque humaniste de Sélestat en Alsace (que j’ai eu la chance de visiter l’été dernier !) J’ai aimé visiter ce lieu, que j’ai trouvé très beau, et je suis étonnée qu’il ne soit pas plus réputé nationalement.

Le château de Tours

Le Château de Tours a été le théâtre de grands événements historiques. En effet, on peut notamment évoquer l’un des épisodes de l’histoire de France qui s’est déroulé ici, avec la captivité et l’évasion de Charles, jeune Duc de Guise, enfermé dans la tour du château qui est la seule à être encore visible aujourd’hui. Cependant, même si le château est intéressant historiquement parlant, c’est encore plus original de l’avoir transformé aujourd’hui en lieu d’exposition, qui plus est gratuit.

La visite est libre, et on a accès à des expositions sur quatre niveaux. Quand nous y étions, il y avait trois expositions en cours, dont une pour laquelle j’ai eu un vrai coup de cœur, celle de Frank Horvat, dont les photographies étaient incroyables. En noir et blanc, elles exprimaient quelque chose de très fort. Une de mes préférées est Combat de boxe entre enfants, quartier cockney de Lambeth, Londres, Angleterre, 1955. Une vraie petite claque artistique qui me donne envie de voir d’autres expositions photos plus régulièrement ! La deuxième exposition était 1976/1986 – Une décennie de photographie couleur ; cette époque correspond à l’apparition de la couleur dans la photographie artistique, qui était jusqu’alors surtout réservée à la publicité. C’était intéressant de voir comment les artistes travaillaient la couleur à ses débuts, et leur amour pour l’esthétique qui était bien présent, mais j’avoue que cela m’a moins marqué que la première exposition. La dernière exposition ne nous a pas plu du tout par contre.

En tout cas, c’est un lieu que je vous recommande carrément : quatre étages d’expositions, dans un lieu patrimonial, et accessible gratuitement… Que demande le peuple ?

Rencontrer les Compagnons du Devoir

L’espace extérieur du Musée du Compagnonnage accueillait pour les Journées du Patrimoine un groupe de Compagnons du Devoir, qui faisaient des démonstrations sur place aux curieux comme nous, venus pour découvrir ces métiers de savoir-faire. Je trouve cela très chouette d’avoir mis en lumière ces travaux très importants pour la restauration du patrimoine français, ou pour sa perpétuation. Les Compagnons du Devoir sont des jeunes apprenants un futur métier de tradition et d’artisanat, comme boulanger, forgeron, fromager (miam !), maréchal-ferrant ou encore tailleur de pierre. Cela comprend une trentaine de métiers. Ils sont amenés à réaliser un Tour de France pour améliorer leurs connaissances techniques auprès d’autres compagnons. Il y a un réel esprit de communauté, qui me paraît très beau et honorable. Il y avait également une exposition sur les travaux menés à la cathédrale Notre-Dame de Paris suite à l’incendie qui l’a frappé en avril 2019, qui nous permettait d’avoir des informations complémentaires sur les métiers liés à ce type de monument, comment s’effectue la restauration actuelle etc. Nous aurions également pu visiter le musée, mais nous manquions de temps pour.

L’Hôtel Pierre du Puy

Enfin, notre dernière vraie visite, qui plus est guidée par une guide conférencière, a eu lieu à l’Hôtel Pierre du Puy. Les Journées du Patrimoine, c’est souvent l’occasion de pénétrer dans un hôtel particulier, dont les portes restent closes le reste de l’année. Cette fois-ci, nous avons découvert cet hôtel particulier à la belle façade en brique qui attire l’œil des passants pour son architecture flamande. À l’intérieur, l’escalier est également tout en briques. Nous avons pu découvrir la cour intérieure et plusieurs salles, mais surtout, nous avons eu l’opportunité de monter tout en haut de l’immeuble pour profiter d’une belle vue sur Tours. Une vue rare, puisque l’hôtel Pierre du Puy, qui doit son nom à un riche marchand qui en fut le propriétaire, n’est ouvert que de manière occasionnelle ; je vous invite à vérifier avant votre venue, car il y a des expositions organisées parfois, ce qui vous permettrait de bénéficier aussi éventuellement de cette vue, et de pouvoir découvrir ce logis de l’intérieur.

La guide nous a donné beaucoup d’informations sur le lieu, mais aussi sur l’histoire locale, ce qui était un peu plus dur à suivre pour nous qui ne sommes pas du coin. On y aura appris par exemple que le célèbre écrivain Honoré de Balzac était tourangeau de naissance !

Le jardin du Musée des Beaux-Arts

Avant de reprendre le train, nous avons fait une dernière balade dans le centre-ville, et nous sommes tombés sur le jardin du Musée des Beaux-Arts de Tours, où trône proche de l’entrée un Cèdre du Liban, grand arbre très impressionnant.

On a apprécié cette journée qui était loin d’être une balade tranquille, mais on peut dire qu’on a bien rentabilisé les billets de train. En tout cas, on a bien profité.

Opéra de Tours
Opéra de Tours

Une chose que j’ai vraiment appréciée dans cette édition des Journées du Patrimoine à Tours, c’est la diversité des activités et lieux proposés, en tant que patrimoines. Nous avons vu du patrimoine culturel et bâti avec de nombreux monuments et des expositions artistiques, mais aussi du patrimoine naturel avec la Loire, du patrimoine de savoir-faire, moins mis en valeur d’habitude au profit des lieux incontournables, ou encore du patrimoine culinaire avec un grand marché biologique au bord de l’eau. Au total, c’est une dizaine d’activités que nous avons pu faire, tout cela sur un seul jour. Une longue journée bien chargée donc, comme vous avez pu voir !

J’espère que cet article vous aura plu et vous aura donné de bonnes idées pour une prochaine escapade en France. Abonnez-vous si vous souhaitez plus de contenu sur le Val de Loire ! Vous pouvez également me suivre sur Instagram, où je poste mes découvertes.

Publié par ailevoyage

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12 commentaires sur « Découvrir Tours sur une journée »

  1. Merci pour ce reportage très complet – qui pourrait être partagé en 2 ou 3 ? J’ai fait un stage à Tours, septembre, octobre, il y a quelques années, une ville fort agréable, et les bords de Loire aussi.
    Nous y avons eu des amis.
    Pas facile pour y entrer en voiture !
    amicalement 🙂

    Aimé par 1 personne

    1. Merci beaucoup pour votre commentaire, ainsi que pour votre abonnement ! 🙂
      J’ai préféré écrire un seul article un peu plus long pour Tours, mais qui permette aux lecteurs d’organiser au mieux leur futur séjour, comme cela ils ont tout au même endroit et ils peuvent piocher les infos qu’ils ont besoin s’ils le souhaitent. Cela me semblait plus logique vu que je ne parlais que d’une journée ; par contre, je propose parfois des séries d’articles, comme ma série estivale comprenant 5 articles sur le bassin Marennes-Oléron ! 🙂

      Pour y aller , en train, c’est bien plus facile ! 🙂
      En espérant que mes prochains articles vous plaisent ; bonne journée Lola

      J’aime

  2. Super article Lola 🙂 Tourangelle d’origine je ne savais même pas pour Victor Laloux, et je n’avais pas remarqué la ressemblance entre l’hôtel de ville de Tours et le musée d’Orsay ahah Merci pour ces infos détaillées et pour m’avoir donné envie de profiter un peu plus de ma ville d’origine lors de mon prochain week-end là-bas 😉

    Aimé par 1 personne

  3. Coucou Lola !
    Merci beaucoup pour cette visite de Tours que je croyais bien connaitre, mais que tu m’as fait redécouvrir 🙂
    Pour tout te dire, je ne me souvenais même pas qu’il y avait un tramway…ou je ne la savais pas du tout en fait !
    Et pourtant, j’ai de la famille qui y vit ! lol
    Belle visite en tout cas.
    Gros bisou et bonne journée ma Lola ❤
    Nathalie

    Aimé par 1 personne

  4. Bonjour,

    Effectivement Victor laloux a créé plusieurs bâtiments à Tours et Paris mais pas que dans ces villes. Rue nationale il y a une pierre commémorative du lieu de naissance d’Honoré de Balzac mais vécu plus vers azay-le-rideau. Les bateaux à fond plat de la Loire sont fabriqués à Savonnières à une dizaine de kilomètres de tours vers Villandry. Et chose que tu aurais pu profiter c’est une balade sur la Loire 😉 il y a différents points de départ et de descente

    Aimé par 1 personne

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