Le Château de Chambord, important lieu du patrimoine culturel est l’un des châteaux les plus célèbres du Val de Loire, et probablement du monde ! Situé dans le Loir-et-Cher, dans la région naturelle forestière de Sologne, terres de châteaux, de forêts et d’étangs, le domaine de Chambord a beaucoup à offrir au visiteur curieux.
En effet, il s’agit avant tout d’un domaine de 5 440 hectares, séparé du reste par un mur en pierre, dans lequel s’imbrique le château. Cette impressionnante superficie correspond à beaucoup de surface forestière, mais pas seulement : par exemple, on y trouve un vignoble, ainsi qu’un chai qui a été inauguré dans l’été.
Même si visiter le Château de Chambord est super à toute saison, je vous recommande d’y aller en automne : il y a beaucoup moins de visiteurs, même le premier week-end de vacances de la Toussaint, les températures sont idéales pour se balader dans le domaine, la forêt est colorée, et vous aurez peut-être la chance d’assister au brame du cerf. Cela faisait longtemps que je souhaitais visiter ce château, et je n’ai pas été déçu de m’y rendre à cette saison, plutôt qu’en été, bien au contraire !
Dans cet article, je vais vous présenter quelques idées de choses à voir et faire au domaine de Chambord en automne, mais la plupart des conseils peuvent également s’appliquer à d’autres saisons. Les richesses de Chambord n’auront de cesse de vous étonner !
- Visiter le Château de Chambord
- Écouter le brame du cerf
- Faire une randonnée dans le Domaine de Chambord
- Infos pratiques
À noter : les lanternons du château sont actuellement en rénovation, c’est donc moins grandiose à voir, mais tout de même ! Et puis, cela aurait été très dommage de ne pas s’y rendre pour cette raison, alors que nous habitons à 40 minutes de là.

Visiter le Château de Chambord

Le Château Royal de Chambord est un relais de chasse, dont les travaux de construction débutent en 1519 : François Ier, qui aimait s’adonner à ce passe-temps, avait décidé de faire construire cet imposant château au milieu de la forêt, qui évidemment, grouillait de gibier. C’était également un moyen pour lui d’étaler sa puissance aux yeux de tous, en particulier des nations voisines. Le roi n’aura malheureusement pas connu le château terminé, puisque les travaux se seront achevés après la mort du souverain. Il n’y aura donc vécu qu’ une cinquantaine de jours au total. Cela n’empêche pas la salamandre, son symbole royal, d’être très représenté dans le château.
En tout cas, les chiffres impressionnent : on dénombre 426 pièces (60 sont visitables), 83 escaliers et 282 cheminées à Chambord.
Chambord est un lieu qui a une importance dans l’histoire de France : il s’agit de l’un des nombreux logis du roi de France, château célèbre pour sa grandeur. De loin, il ressemble plus à une forteresse médiévale par sa forme imposante, mais la finesse des parties hautes du château, avec les lanternons, est remarquable, et c’est ce qui en fait l’un des joyaux de la Renaissance. Il est d’ailleurs classé à l’Unesco comme faisant partie du périmètre du « Val de Loire patrimoine mondial ».



Nous avons fait la visite en deux fois. La première fois, nous avons fait la plupart du rez-de-chaussée, ainsi que la chapelle par laquelle nous avons commencé la visite avant de redescendre pour visiter les salles du rez-de-chaussée. On peut choisir assez librement sa visite, suivant ses envies et le temps dont on dispose. Pour cette première visite, nous avions payé pour l’Histopad (6,5 euros par tablette – l’accueil en recommande une par personne vu qu’il y a un casque). À noter que l’entrée au château et ses jardins sont gratuits si vous avez moins de 26 ans, ou selon votre situation, mais cela ne vous dispense pas du paiement de la location de l’Histopad, qui n’est pas obligatoire.
Je ne vous recommande pas vraiment l’Histopad, un peu cher, et moins bien fait qu’au Château de Blois par exemple. Il permet ici de se rendre compte comment étaient certains lieux avant, comme la chapelle par exemple, qui a accueilli dans de grosses caisses en bois les œuvres exposées au Musée du Louvre lors de la Seconde Guerre mondiale, afin de les protéger d’éventuels bombardements sur Paris. Pour le reste, je n’ai pas trouvé les informations très pertinentes, et donc, nous avons choisi de ne pas le reprendre pour notre deuxième visite. En plus, pour le côté pratique, si comme moi vous aimez faire des photographies du lieu, cela devient très vite galère avec un Histopad dans les mains.
La deuxième fois, nous avons visité tout le reste, mais juste avec une notice de visite gratuite, qui, combiné avec les cartels présents dans les salles, nous a suffit pour notre part.

Au rez-de-chaussée, nous arrivons directement face à la prouesse architecturale qu’est l’escalier à double révolution. Inspiré par les travaux de Léonard de Vinci à la fin de sa vie lorsqu’il séjournait au Clos Lucé, à Amboise, c’est la pièce maîtresse du château, celle au cœur de tout, littéralement. Cet escalier a la particularité de permettre aux gens qui montent et qui descendent de ne jamais se croiser. C’est un peu dommage, car on ne s’en rend pas vraiment compte sur place, et il n’y a pas vraiment de médiation à ce sujet quand on visite librement ; présenter des croquis de cet escalier pourrait apporter une plus-value pour la compréhension des visiteurs.
En parfaite symétrie, les salles que l’on visite sont aux quatre coins du rez-de-chaussée : on découvre une à une la salle des Bourbon, la salle des Illustres, la salle des Chasses ou encore une salle audiovisuelle avec un film qui mériterait d’être renouvelé par une proposition plus adaptée et moderne en termes de médiation. On comprend bien dans ces salles qu’il s’agit plutôt d’un lieu de villégiature destiné à la chasse, qu’à une résidence principale : le château est assez vide selon les pièces, puisque les meubles étaient déplacés à chaque déplacement de la cour, mais on m’a tellement prévenu qu’il était vide de meubles que je m’attendais nettement à pire.





Nous avons fini notre première visite par les jardins à la française, qui ont été restitués en 2017.


Plus étonnant peut-être : le Château de Chambord reçoit de temps à autre des équipes de cinéma pour y réaliser certains films. Lorsque nous y étions lors de notre première visite, un tournage avait lieu sur des barques sur le Cosson, cours d’eau qui traverse le Domaine. Il s’agit du film Comme un prince, qui relate l’histoire d’un boxeur condamné à une peine d’intérêt général à Chambord.
Au cours de l’été 2020, le Château de Chambord a été le lieu de tournage du film Cœurs vaillants, avec Camille Cottin pour tête d’affiche. Cette œuvre cinématographique raconte le moment où six enfants juifs et orphelins se sont réfugiés au château pour se cacher pendant la Seconde Guerre mondiale. Camille Cottin joue le rôle de la chargée de conservation des œuvres qui ont été rapatriés dans les pièces du château, et qui décidera d’y cacher également ces enfants. Plus ancien, mais certainement plus célèbre dans la culture française, Peau d’Âne, réalisé par Jacques Demy, avec Catherine Deneuve à l’affiche, y a été tourné également, en 1970.

Pour notre deuxième visite, nous avons commencé par les cuisines, que j’ai beaucoup aimé découvrir. Je ne sais pas trop pourquoi, mais c’est une salle que j’adore voir dans les châteaux ; peut-être parce que je la trouve bien plus vivante que les autres pièces qui paraissent figer dans le temps, et trop décorées, trop fastueuses.


Nous nous sommes ensuite rendus à la salle des carrosses et au lapidaire, où l’on peut admirer de près d’anciens morceaux du château, taillés dans de la pierre de tuffeau, qui est connue pour être un matériau résistant mal à l’érosion.





Au premier étage, nous découvrons les appartements royaux avec la reconstitution de la chambre de François Ier, et de son bureau. On y trouve également l’oratoire privé du roi, où il pouvait se recueillir sous un superbe plafond voûté.





Nous arrivons ensuite dans une chambre toute bleue, la chambre de la Reine, puis dans l’appartement de parade, très richement décoré, avec des tons or et de belles tapisseries. À partir de là, je suis plutôt étonnée, car je n’avais entendu parler que du lien de François Ier avec Chambord. Pourtant, et c’est ce que je trouve intéressant, le Château de Chambord ne se résume pas à ce célèbre roi. En effet, le château a connu d’autres propriétaires par la suite, et d’autres fonctions, comme un haras. On peut citer Gaston d’Orléans, qui achèvera les travaux du domaine, Louis XIV qui y a aménagé sa suite royale et fait construire les écuries, ou encore le comte de Chambord, héritier légitime du trône de France, qui hérite du château à sa naissance. Si le sujet des différents résidents du château de Chambord vous intéresse, je vous recommande cette vidéo qui explique très bien les différentes phases.





Plus loin, on découvre la chambre du gouverneur et les appartements d’invités, dans des motifs très liberty. Au même étage, on trouve également le théâtre de Molière, mis en place sous Louis XIV, qui aimait se divertir lors de ses séjours à Chambord, ainsi que le musée du comte de Chambord. Quelques pièces sont dédiées au comte ; on y apprend que son père, le duc du Berry, a été assassiné devant l’opéra alors qu’il reconduisait son épouse enceinte à son carrosse pendant l’entracte. Le roi au pouvoir à l’époque est Charles X, son grand-père. Le comte de Chambord est considéré comme un cadeau du ciel, car sans lui, la lignée des Bourbons aurait pu s’éteindre. En 1830, il doit fuir la France et se réfugier en Autriche, car son grand-père, Charles X, est contraint d’abdiquer face au soulèvement du peuple à Paris lors de l’épisode des Trois-Glorieuses, et doit s’exiler lui en Angleterre. Le pouvoir est donné à la lignée des cousins, la Maison d’Orléans, ce qui donne lieu à la Monarchie de Juillet.





Au deuxième étage, nous arpentons les différentes salles voûtées. Certaines accueillent des expositions. En ce moment, et jusqu’au 5 mars 2023, il s’agit de l’exposition Vie(s) de châteaux, montrant des photographies en noir et blanc de Chambord autrefois. Il y a également à cet étage la galerie des trophées.




Une des parties que j’ai préférées, et que j’avais hâte de découvrir, c’étaient les terrasses du troisième étage, afin de pouvoir admirer la beauté de la tour-lanterne, et le panorama sur le Domaine de Chambord !





Au total, comptez une heure et demie pour faire toutes les pièces.
J’ai aimé visiter le Château de Chambord (forcément, sinon, je n’en ferais pas un article !), et j’espère pouvoir le visiter de nouveau lorsque les travaux de restauration seront terminés afin d’en prendre toute son ampleur !





Écouter le brame du cerf
Un matin d’octobre, nous avons pu assister au brame du cerf en petit comité. S’il y a bien une expérience à vivre en Sologne autre que visiter les châteaux de la Loire, c’est bien celle-ci ! Par contre, il vous faudra penser à réserver bien en avance pour vivre cette expérience : il n’y a pas beaucoup de place, et cela part très vite, ce que je ne savais pas : les réservations ouvrent dès le mois de juin. Heureusement, nous avons quand même eu nos billets pour vivre ce moment hors du temps, que nous souhaitions vivre depuis au moins deux ans. Et alors, à Chambord, c’était encore plus marquant ! L’expérience coûte 35 euros par personne.
Le brame du cerf marque la saison des amours pour les cervidés : les mâles, en rut, s’affrontent, s’épuisent et s’affament pour tenter de s’accoupler avec les biches. Pendant cette période de parade amoureuse qui dure environ trois semaines/un mois entre mi-septembre et mi-octobre, selon les années (comme pour tout, le réchauffement climatique a un impact… et oui, même sur le brame du cerf !), les cerfs peuvent perdre une vingtaine de kilos ; ils peuvent même mourir d’épuisement !

Le rendez-vous étant donné vers 6 h 30, nous avons préféré dormir dans un studio à moins de dix minutes du château. Quand nous sommes arrivés, il faisait encore nuit noire, et au bout de quelques minutes d’attente au point de rendez-vous (au niveau de l’accueil), un 4×4 est arrivé, avec notre guide animalier pour la matinée comme conducteur. L’expérience commence ici, pour trois heures environ : on monte à l’arrière du 4×4, et on est ballottés sur la route menant à la limite entre la partie publique et privée du domaine. Le trajet est rapide : en cinq minutes, on arrive sur les lieux. Le guide nous fait monter dans l’observatoire principal, où on rejoint un autre petit groupe déjà sur place. Au total, nous sommes une quinzaine, réunis pour assister au spectacle.
Installés sur des bancs pendant toute la durée de l’expérience, et dissimulés derrière un grand filet type camouflage où le froid passait, nous ne ressentions plus vraiment la fraîcheur matinale avec l’excitation du moment. Il faut dire que nous nous étions chaudement couverts également. Évidemment, ce n’est pas simple de prendre des photos, car ce filet devant nous empêche de prendre des photos de meilleure qualité, mais il permet que nous ne soyons pas visibles des animaux. Ainsi, nous pouvons les observer sans les déranger.
La consigne était de ne pas faire de bruit également, pour ne pas les faire fuir, mais comme toujours, certains ne respectaient pas vraiment cette consigne… Je ne parle pas de petit « whaou » d’émerveillement, mais bien de grands cris qui auraient pu effrayer les animaux…

Dès le début, il faut être à l’affût, et faire travailler ses sens ; quand nous sommes arrivés, nous ne voyions rien. Peu à peu, nos yeux se sont habitués, et le soleil se levant et aidant, nous avons pu de mieux en mieux discerner la clairière et observer les cervidés. Nous avons vu d’abord des biches venant se nourrir dans la clairière pendant de longues minutes, indifférentes au râle rauque des cerfs qui se faisaient écho dans la forêt. Quand les cerfs arrivaient enfin devant nos yeux, nous étions stupéfaits par leur beauté, et il était difficile de réfréner un « oh » d’admiration face à l’élégance du roi des forêts lorsqu’il apparaissait à la lisière de la forêt. Nous avons pu assister à plusieurs scènes de vie entre les biches, les faons et les cerfs.
À la fin, notre guide est revenu nous chercher pour nous emmener dans un autre bâtiment, où nous avons pu procéder à un débriefing convivial autour d’une boisson chaude et de petits gâteaux locaux venant de la biscuiterie de Chambord. Nous avons d’abord participé au comptage ; nous devions dire combien d’animaux nous avions vus et de quelle espèce. Ensuite, c’était le moment où on a pu poser nos questions, que ce soit sur le brame du cerf, sur les cervidés, mais aussi plus largement sur le domaine de Chambord. Notre guide nous a appris plein de choses, c’était un vrai moment d’échange.

Comme vous aurez compris, le brame du cerf ne durant que peu de temps, il faut être présent au bon moment pour y assister. Vous pouvez vivre cette expérience tôt le matin comme nous, au lever du jour, ou au coucher de soleil. Selon l’animateur nature avec qui nous étions, il est préférable de venir le matin, et un peu plus tôt que nous dans la saison du brame, plutôt vers le 28 septembre, où on est quasi sûrs de l’entendre et de voir des animaux. Pour notre part, nous y étions à la toute fin du brame : il y avait moins de chance de voir des animaux, puisqu’il avait démarré plus tôt cette année suite à la sécheresse de cet été.
Pour mieux voir les animaux, je vous recommande d’apporter des jumelles.



Après le débriefing, tandis qu’il ramenait l’autre groupe, nous sommes retournés à l’observatoire. Là, nous avons pu observer longuement le cerf dominant allongé, fatigué de devoir défendre sans cesse son territoire. Nous avons même vu un mouflon corse ; les mouflons ont été introduits en 1950 à Chambord pour empêcher la disparition de l’espèce.
Le saviez-vous ? Les cerfs perdent leurs bois entre février et avril, mais chaque année, leurs bois repoussent un peu plus grand !



Vous l’aurez compris : je vous recommande vivement de vivre cette expérience insolite, encore plus au Domaine de Chambord. On se prend au jeu d’attendre patiemment les animaux, on ne voit pas le temps défiler. C’est assez émouvant d’assister à ce moment, et surtout de voir des animaux de si près sans qu’ils partent en courant. On se sent privilégiés. Même si mes photographies sont loin d’être les plus réussies, je suis super contente d’avoir pu observer d’assez près ces cervidés dans leur milieu naturel, je trouve cela super chouette, et je suis ravie d’avoir quelques photographies de ce moment !



En reprenant la voiture, nous avons le droit à un bonus pas du tout au programme, de la part de notre accompagnateur, ce qui nous a ravis : un petit tour en 4×4 d’un quart d’heure dans le Domaine de Chambord, dans la partie qui ne se visite qu’avec un guide.



Au bout de quelques minutes, on aperçoit un cerf qui traverse, puis une famille de sangliers. Plus loin, on a la chance de voir de très près un cerf, qui ne bouge pas pendant deux ou trois minutes. Le roi des forêts se tourne vers nous, beau, majestueux. J’ai encore plus de mal à comprendre pourquoi certains prennent plaisir à chasser ces beaux animaux… Tandis que le cerf part, je repère un mouflon au bout de la route, pour le bonheur des autres qui n’en avait pas encore vu avant. C’était une super expérience de voir tous ces animaux, et nous repartons tous ravis de cette expérience.
Faire une randonnée dans le Domaine de Chambord
Plusieurs randonnées existent au sein du Domaine de Chambord. Afin d’avoir physiquement le tracé entre vos mains, je vous recommande de vous procurer à l’accueil du domaine le plan des promenades.
Ces parcours de randonnées se situent bien évidemment dans la partie ouverte librement aux visiteurs, la partie privée n’étant accessible qu’avec un guide.
Nous avons choisi de prendre le sentier pédestre rouge de 8,2 km, correspondant environ à 2 h 20 de marche. Pendant la balade, nous avons pu voir quelques jolies couleurs et clairières, mais nous nous attendions à mieux : la balade était plutôt monotone quand on est plutôt habitué au relief, et nous avons été déçus par la proximité avec la route par endroits. Toutefois, le domaine de Chambord semble être le parfait spot pour la chasse… aux champignons ! Nous avons croisé de nombreuses personnes sur notre chemin à leur recherche, qui repartaient avec des cabas remplis.






Sur le parcours, nous avons également vu des observatoires en hauteur : il faut y grimper à l’aide d’une échelle pour accéder à la plateforme d’observation. Dommage, nous n’avons pas vu d’animaux cette fois-ci !
Cela reste une bonne idée de balade après la visite du château, si vous avez envie de vous balader dans la forêt sans crainte des chasseurs.
Infos pratiques
Pour le parking, le PO situé tout proche de l’entrée coûte 6 euros à la journée, tandis que le P2 coûte 4 euros (il n’est pas beaucoup plus loin).
Vous trouverez de quoi vous restaurer juste à l’extérieur du château : il y a plusieurs snacks et restaurants. Ou comme nous, vous pouvez aussi ramener votre pique-nique pour le manger à l’extérieur de l’enceinte du château.
Je ne le savais pas avant de m’y rendre, mais on peut aussi être hébergé à quelques pas du château, dans le Relais de Chambord, hôtel 4 étoiles. L’occasion de vivre plus ou moins la vie de château, et surtout de pouvoir assister au coucher de soleil et au lever au château ; ou d’être déjà sur place pour le brame du cerf.
Pour les souvenirs, vous trouverez une boutique à la fin de la visite du château. Vous aurez le choix, il y a même des boites à meuh où l’on entend le brame du cerf (?!) ; pour ma part, j’ai craqué pour un parfum d’ambiance et une jolie trousse à l’effigie du château.


J’espère que vous avez apprécié lire cet article, et que vous aurez appris des choses, et que cela vous donnera des idées : que ce soit la découverte du château, l’écoute matinale du brame du cerf, ou encore la randonnée dans la forêt… J’ai essayé de vous donner au mieux mon retour d’expérience sur ma visite du domaine, tout en vous donnant quelques informations pratiques, mais aussi historiques (dont les recherches m’ont passionnées !) de manière accessible.
N’hésitez pas à me laisser un commentaire si vous avez aimé, ou pour me faire un retour constructif, cela est toujours apprécié ! Également, vous pouvez vous abonner pour ne pas louper les prochains articles.
Dites-moi en commentaire si vous aimeriez que je vous détaille ma visite dans un autre lieu de patrimoine, un autre château de la Loire par exemple, et si oui lequel ?
À très bientôt
Lola
Très bel article !! Descriptions intéressantes !! Nous avons eu la chance de le visiter il y a quelques années , ça nous a replongés dans de bien beaux souvenirs !!
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Merci Françoise ! Je suis contente si ça vous a rappelé de bons souvenirs 🙂
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Merci pour cette jolie promenade automnale à Chambord. Tu écris avec passion.
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Merci Philippe ! 🙂
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Merci pour ce joli reportage , c’est totalement vrai ce que tu dis ,il faut vraiment éviter de le visiter quand il y à de gros week end , comme nous celui de pâques ou cela courait de partout , en tout cas le brame du cerf à du être une belle expérience comme tu le décris
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Et oui ! C’est comme cela partout ! 😉 oui, c’était trop chouette !
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Nous l’avons visiter mais pas sur les mêmes angles sûrement et avons dû en louper certains aspect que j’ai découvert dans ton article toujours aussi plaisant à lire .
Il est vrai que le nombre de personne durant une visite joue sur la bonne ou moins bonne observation des choses .
Et la partie sur le bram du cerf et son observation est intéressante à voir sûrement .
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Oui, on loupe toujours plus ou moins quelque chose pendant une visite ! Le brame du cerf, c’était super !
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